Fédéralitude, la Gouvernance Bienveillante
Par Gregory Tankes
Le monde va mal.
La gouvernance va à la dérive.
Les peuples souffrent.
Face à ce désolant spectacle chacun de nous peut agir à son niveau. C’est une question de niveau conscience et d’engagement.
Il est temps pour chacun de nous de comprendre qu’il ne suffit plus de pleurnicher sur notre misère ou celle du monde. Le temps est venu de proposer à nos populations d’autres alternatives en matière de gouvernance.
Sortir de la gouvernance centralisée, qui agit comme une pompe aspirante, nous vidant ainsi de nos projets, nos espoirs, nos désirs et nos rêves pour nous ramener à l’état d’esclaves et de chaire à Canon juste là, pour assouvir les bas instincts du roi et de sa cour.
La Fédéralitude dessine, un autre avenir où il sera possible à des villageois, illlustres inconnus de tous, d’imposer leur vision du développement et d’impacter sur la direction que prendra leur communauté de vie, commune rurale ou urbaine.
Ils ne seront plus soumis en vassaux à leurs élus. Au contraire ils auront le pouvoir de révoquer ces derniers, si leurs actes restent insatisfaisants à leur yeux.
Ils seront alors, maîtres de leur destin et traceront ainsi une voie éclairée par la lumière de la gouvernance bienveillante.
L’homme ne sera plus autour de ses institutions, qui malheureusement ne sont que des leviers permettant au roi d’imposer sa volonté. Il sera lui-même le centre d’intérêt et d’attentions des dites institutions.
Le peuple ne s’inquiétera plus au moment de manifester son mécontentement, de faire face aux fantassins dévoués à une tête couronnée, car il sera lui-même le fantassin patriote et bienveillant qui aura la responsabilité de protéger les siens d’un roi fou.
Il deviendra alors le bienveillant envers tout et pour tous, puisqu’il sera le promoteur conscient de la gouvernance bienveillante dans une terre où la sphère politique sera assainie.
Ce qui semble être une utopie prendra forme au fur et à mesure que chacun assumera sa part de responsabilité.
Nous arriverons par ce cheminement, à ce que José Mene Berre appelle: « la gouvernance bienveillante »